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Prier avec des chants
Pour célébrer Jésus-Christ, l’Église francophone dispose de très nombreux chants religieux. Car personne n’avait prévu en 1963, au sortir du Concile, la quantité et la diversité actuelle des chants liturgiques. De même, personne ne sait aujourd’hui avec certitude ce que l’on chantera dans dix ans. Ce qui doit inviter à la prudence et à la tolérance, sans jamais exclure l’exigence, notamment des paroles.
Plusieurs typologies ont été dressées. Celle qui est présentée ici inventorie les différents styles actuellement à notre disposition et n’a donc d’autre ambition que d’y voir un peu clair dans les 12 000 chants liturgiques ou religieux, répertoriés par le SECLI, “du grégorien… à Glorious”, alors qu’une paroisse en utilise moins de 200 par an , voire moins de 100. Aussi, d’une manière très schématique, peut-on distinguer :
S’il ne fallait retenir qu’un principe pour choisir les chants d’une célébration, sans doute devrait-on se référer au célèbre article n°112 de la Constitution sur la Liturgie : « La musique sacrée sera d’autant plus sainte qu’elle sera en connexion étroite avec l’action liturgique », i.e. les rites et les textes bibliques de la célébration. Alors, selon la réflexion commune de Frère Aloïs de Taizé et du Père M. Wittall de l’Emmanuel, « le chant sera un moyen d’évangélisation ».
Pour célébrer Jésus-Christ, l’Église francophone dispose de très nombreux chants religieux. Car personne n’avait prévu en 1963, au sortir du Concile, la quantité et la diversité actuelle des chants liturgiques. De même, personne ne sait aujourd’hui avec certitude ce que l’on chantera dans dix ans. Ce qui doit inviter à la prudence et à la tolérance, sans jamais exclure l’exigence, notamment des paroles.
Plusieurs typologies ont été dressées. Celle qui est présentée ici inventorie les différents styles actuellement à notre disposition et n’a donc d’autre ambition que d’y voir un peu clair dans les 12 000 chants liturgiques ou religieux, répertoriés par le SECLI, “du grégorien… à Glorious”, alors qu’une paroisse en utilise moins de 200 par an , voire moins de 100. Aussi, d’une manière très schématique, peut-on distinguer :
S’il ne fallait retenir qu’un principe pour choisir les chants d’une célébration, sans doute devrait-on se référer au célèbre article n°112 de la Constitution sur la Liturgie : « La musique sacrée sera d’autant plus sainte qu’elle sera en connexion étroite avec l’action liturgique », i.e. les rites et les textes bibliques de la célébration. Alors, selon la réflexion commune de Frère Aloïs de Taizé et du Père M. Wittall de l’Emmanuel, « le chant sera un moyen d’évangélisation ».
Pour célébrer Jésus-Christ, l’Église francophone dispose de très nombreux chants religieux. Car personne n’avait prévu en 1963, au sortir du Concile, la quantité et la diversité actuelle des chants liturgiques. De même, personne ne sait aujourd’hui avec certitude ce que l’on chantera dans dix ans. Ce qui doit inviter à la prudence et à la tolérance, sans jamais exclure l’exigence, notamment des paroles.
Plusieurs typologies ont été dressées. Celle qui est présentée ici inventorie les différents styles actuellement à notre disposition et n’a donc d’autre ambition que d’y voir un peu clair dans les 12 000 chants liturgiques ou religieux, répertoriés par le SECLI, “du grégorien… à Glorious”, alors qu’une paroisse en utilise moins de 200 par an , voire moins de 100. Aussi, d’une manière très schématique, peut-on distinguer :
S’il ne fallait retenir qu’un principe pour choisir les chants d’une célébration, sans doute devrait-on se référer au célèbre article n°112 de la Constitution sur la Liturgie : « La musique sacrée sera d’autant plus sainte qu’elle sera en connexion étroite avec l’action liturgique », i.e. les rites et les textes bibliques de la célébration. Alors, selon la réflexion commune de Frère Aloïs de Taizé et du Père M. Wittall de l’Emmanuel, « le chant sera un moyen d’évangélisation ».