30 avril 2025
Saint Pie V
Arrivée en décembre, Marie Barbier, 41 ans, est chargée de mission au sein du service foi. Rencontre.
Depuis deux mois, Marie Barbier est chargée de mission au sein du service foi (pour la Liturgie et l’Art sacré). Une mission sur mesure pour cette maman de quatre enfants, passionnée d’histoire, qui lui permet de côtoyer de près les trésors de nos églises.
Son activité se divise en deux parties : Marie travaille d’une part avec le père Régis Bompérin responsable de l’Office diocésain de la Liturgie et d’autre part avec le père Bertrand Chevalier, responsable de la commission diocésaine d’Art sacré.
Trois jours par semaine, depuis son bureau du service foi-liturgie au centre St-Jean, elle coordonne les rendez-vous pour aider les deux prêtres dans leurs missions respectives. Par exemple, c’est elle qui gère la prise de rendez-vous pour la restauration d’un « sanctuaire en péril » à l’autre bout du diocèse. Elle prévoit aussi une rencontre avec une mairie dans le but de sauvegarder le mobilier ou les objets d’une église désaffectée.
Une mission riche et variée, tout comme la partie « liturgie » (musique, servants d’autel, service des familles en deuil etc.), où Marie facilite le travail du père Régis.
Attachée de presse de formation, cette « Bretonne de cœur » a travaillé à la Délégation catholique pour la coopération (DCC) pendant un an puis dans l’édition chrétienne pendant quatre ans, avant de s’envoler à l’étranger pendant douze ans. La petite famille a posé ses valises en Anjou il y a seulement deux ans et demi. C’est là, à la faveur d’heureuses rencontres, que Marie a été appelée à cette mission diocésaine après avoir rejoint le groupe de la conservation des objets d’art sacré du diocèse.
Le précieux soutien des bénévoles
Les premières impressions avec le recul de deux mois : que du positif !
Marie apprécie « la dimension fraternelle » du centre diocésain et se passionne pour l’histoire chrétienne de l’Anjou, « merveilleusement riche ». Sa mission lui permet de mieux connaître la liturgie, dont elle n’avait « pas mesuré le sens » ni la beauté. Ce qui la touche le plus, c’est le dévouement des nombreux bénévoles qu’elle côtoie, tant à la conservation du patrimoine (inventaire des vêtements, tableaux, objets d’art sacré, etc.), que dans les paroisses notamment au service de funérailles : grâce à eux, les formations sont organisées en totale autonomie !